Pèlerinage à Notre-Dame d’Espis
« Notre-Dame, Reine du Sauveur »
Près de Moissac (Tarn-et-Garonne)
Le 13 de chaque mois
« La Sainte Vierge n’est pas morte, Elle est montée au Ciel en corps et en âme »
« Notre-Dame, Reine du Sauveur »
Près de Moissac (Tarn-et-Garonne)
Le 13 de chaque mois
« La Sainte Vierge n’est pas morte, Elle est montée au Ciel en corps et en âme »
Un pèlerinage à Notre-Dame d’Espis a lieu chaque année, le 28 mai, en une chapelle, près de Moissac, sur la route allant vers Cahors, non loin de Laujol (Tarn-et-Garonne). Ce petit sanctuaire remonterait au XIII ème siècle.
C’est à proximité de ce lieu marial, au bois d’Espis, que la très Sainte Vierge apparut, à partir de 1948, au petit Gilles Bouhours, alors âgé de 4 ans.
La Très Sainte Vierge lui parla à maintes reprises, l’embrassa et lui confia un secret à révéler au pape Pie XII et à lui seul. Le message à transmettre au pape était le suivant : « La Sainte Vierge n’est pas morte, Elle est montée au Ciel en corps et en âme ». Ce secret fut révélé par l’enfant au pape le vénérable Pie XII lors d’une entrevue, le 1er mai 1950.
Le pape Pie XII, selon des sources qualifiées de bien informées, aurait demandé à Dieu au cours de l’année sainte 1950 un « signe » pour savoir s’il devait ou non proclamer le dogme de l’Assomption de la Vierge. Des membres de son entourage direct, ainsi que de nombreuses personnes extérieures au Vatican n’ont pas manqué d’identifier ce « signe » à la révélation privée du jeune garçon.
Le 11 octobre 1954, par son Encyclique : « Ad Coeli Reginam » S.S. PIE XII proclama la Royauté Universelle de Marie. Cette encyclique suivit la proclamation par le même pape le Vénérable Pie XII du dogme de l’Assomption de la Vierge Marie, par la constitution apostolique Munificentissimus Deus du 1er novembre 1950.
Le petit Gilles Bouhours quitta la terre à l’âge de 15 ans. Sa tombe se trouve au cimetière du village de Seilhan dans le département de la Haute Garonne, à 4 kilomètres de Montréjeau, sur la route de Saint Bertrand de Comminges.
Un pèlerinage à Notre-Dame a lieu le 13 de chaque mois à Espis. Il y a une messe à 11h, il y a un chemin de croix à 14h, à 15h une messe est chantée et à 16h la bénédiction.
Gilles Bouhours naquit le 27 novembre 1944, jour de la fête de la Médaille Miraculeuse.
Dès son plus jeune âge, il fut le bénéficiaire de grandes grâces,
par des visites de la Sainte Vierge, qui lui délivra des messages et eut des conversations avec lui. La première apparition eut lieu le 30 septembre 1947 à Arcachon. « La Sainte Vierge avait une robe blanche, la tête recouverte d’un voile jaune. »
Le 2 octobre, Ce fut un premier dialogue :
« Tiens. Elle saigne la Sainte Vierge. Tu t’es fait bobo ?… Tu as tombé dans les bambous ? Tiens, mon mouchoir. Papa donne ton mouchoir. Viens à côté de moi… Tiens, donne-moi la main… N’aie pas peur… Viens à côté de moi…Papa et maman sont là ! »D’Arcachon en passant par Bouilhe-Pereuil, puis Moissac et à Seilhan (Haute Garonne) où la famille s’installa définitivement Gilles eut une vie comblée de Grâces, d’Amour, de Tendresse du Ciel.
C’est à l’âge de 15 ans et 3 mois, le 26 février 1960 que Gilles partit rejoindre sa Maman du Ciel.
En décembre 1948, en revenant du bois d’Espis, Gilles dit : « Elle m’a dit quelque chose. Mais si je le disais, ce serait deux pêchés ».
En février 1949, Gilles dit à son père : « Je dois aller à Rome pour lui dire que la Sainte Vierge apparaît à Espis ».
Le 12 décembre 1949, une première rencontre eut lieu à Rome avec le Saint Père en audience semi-privée. Mais, Gilles ne voulut rien dire ; son secret ne devait être délivré qu’à S.S. PIE XII et à lui seul, la Sainte Vierge l’avait demandé.
Pourtant il fallait qu’il accomplisse sa mission. Quatre mois plus tard, lors d’une seconde visite au Vatican, alors qu’il n’avait que 5 ans, il put enfin parler seul à seul en audience privée avec le Pape. Puis, libéré de tout engagement, il put révéler son secret à tous :
« La Sainte Vierge n’est pas morte, Elle est montée au Ciel en corps et en âme »
C’était la confirmation que le Saint Père avait demandé à la Reine du Ciel avant qu’il ne proclame officiellement le dogme de l’Assomption de la Vierge Marie.
Ce fût Gilles, en toute simplicité qui confirma au Pape l’opportunité de cet acte pontifical.
La Sainte Vierge se manifesta encore de nombreuses fois jusqu’au 15 août 1958. Le 15 Août 1954, Marie dit à Gilles :
« Je suis la Reine du Sauveur, tu peux le dire à Monsieur le Curé ».
plus tard elle lui confirma :
« Oui, Gilles, tu peux dire : Reine du Sauveur, priez pour nous ».
le 11 octobre 1954, par son Encyclique : « Ad Coeli Reginam » S.S. Pie XII proclama la Royauté Universelle de Marie ».
(pour la dévotion privée)
Cher petit Gilles, dans ton Eternité, daigne écouter les demandes que t’adressent tes parents et amis de la terre. O toi, qui as tant désiré être prêtre pour « mettre Jésus dans les hosties » et devenir missionnaire de la Sainte Vierge… O toi que Marie a appelé « mon petit Jésus de la terre »… O toi, le tout petit ambassadeur envoyé par la Sainte Vierge auprès du Pape Pie XII, pour lui confier le « secret » de la glorieuse immortalité de son corps virginal… O toi que la maman du Ciel a embrassé ici-bas et a qui tu as rendu son doux baiser… O toi qui as reçu les confidences de Celle qui s’est nommée pour toi « la Reine du Sauveur »… O toi qui as vu des rayons d’or s’écoulant de ses mains jointes… Nous te demandons de supplier la Toute-Puissante et Immaculée Reine du Monde de laisser descendre sur nous un Rayon de Sa Miséricordieuse Bonté… Voici la grâce spéciale que tu voudras bien solliciter pour nous (nommer la grâce désirée) Ce sera peut être un vrai miracle, mais ta prière, qui en a déjà obtenu sur la terre, ne doit-elle pas être maintenant irrésistible sur les Coeurs de Jésus et de Marie ? Petit Gilles, nous avons confiance en toi !
spiritualité chrétienne le petit Gilles Bouhours